Les secteurs dynamiques de l’est lyonnais

Peu connue, Les Abrets en Dauphiné, située dans le Nord Isère, est pourtant une commune attractive qui poursuit son développement grâce à la proximité des grands axes routiers, autoroutiers et ferroviaires. Au carrefour du Rhône, de l’Isère et de l’Ain, à 16 km de Lyon, Meyzieu connaît un dynamisme constant.

Charmante commune à la campagne, Les Abrets en Dauphiné offre à ses 6440 habitants, en majorité des actifs, de nombreuses infrastructures. Elle est idéalement située au cœur du triangle Lyon/Grenoble/Chambéry, à 35 mn des premières stations de ski, à 40 mn de l’aéroport Lyon Saint-Exupéry, et à 20 mn de Chambéry. Sa situation au croisement de la RD 1006 et la RD 1075 dynamise l’économie du secteur. La création de deux zones artisanales et industrielles a permis l’installation de plusieurs TPE et PME très vite rejointes par deux grands groupes Bourgeat SA et Hermes maroquinerie. Autre grande enseigne, Brioche Pasquier est installée depuis plusieurs décennies dans la zone artisanale de la commune voisine de Charancieu. Ce secteur dispose de foncier permettant d’envisager de nouvelles perspectives de développement. « Nous avons enregistré un nombre record de ventes de maisons en 2017 » confie Catherine Queyron, experte en valeurs immobilières, responsable du service expertise et négociation créée en 2016 au sein de l’étude AB2C Notaires. « S’il existe sur notre secteur de grandes maisons dauphinoises emplies de char­me, dont les prix dépassent les 250.000 €, ou des propriétés récentes et contemporaines, à l’instar de cette villa de 200 m² avec piscine, jacuzzi sur terrain de 2700 m² proposée à 530.000 €, la majorité des acquéreurs recherche plutôt des maisons avec trois chambres sur 900 m² de terrain entre 140.000 et 200.000 €. Le marché de l’ancien est dominé depuis 10 ans par des acquéreurs jeunes, puisque la tranche des moins de 29 ans représente 30 à 40 % des transactions. Autre profil d’acquéreurs de plus en plus nombreux, les secundo acquéreurs, déjà propriétaires d’un bien qu’ils mettent en vente. Ils ont la quarantaine et recherchent des biens sans travaux. Les modes de transport évoqués ci-dessus et le télétravail ont déjà permis à de nombreux acquéreurs venant du bassin grenoblois, de la région lyonnaise et des environs de Chambéry de s’installer ici pour profiter d’une paisible qualité de vie » explique l’experte qui souligne que le marché est fluide et la hausse des prix modérés.

Installée à Bron et à Meyzieu, l’Agence Centrale offre une prestation complète de l’immobilier à travers les services de location, syndic et transaction. « Une de nos spécificités est de proposer uniquement des mandats exclusifs, et un de nos axes de développement consiste à gérer depuis l’expertise jusqu’à la transaction, les biens qui se situent au sein des nombreuses copropriétés que nous gérons. Que ce soit des immeubles ou des lotissements, notre connaissance parfaite de ces adresses, nous permet d’offrir un conseil et un service unique à nos clients » explique Martine Basili, responsable du service transaction au sein de l’Agence Centrale de Meyzieu. Abritant une active zone industrielle de 210 ha, la commune s’est considérablement dynamisée pour accompagner son développement démographique et économique. « Notre zone de chalandise s’étend sur l’ensemble de l’est lyonnais et nous proposons aussi bien des appartements que des maisons en lotissement. La demande devient supérieure à l’offre, toutefois, seuls les biens affichés au prix du marché se vendent rapidement » précise la professionnelle dont la clientèle se compose aussi bien de primo-accédants, de familles locales que de retraités ayant vendu une maison et souhaitant désormais vivre dans un appartements en ville à proximité des commodités. « Pour les maisons, la plus grande demande concerne les biens affichés en dessous de 300.000 €. L’offre est étroite et les maisons nécessitent souvent de gros rafraîchissements. Il y a plus de choix à partir de 400.000 € ». Dans le neuf, les appartements T2 s’abordent à partir de 160.000 € et les T3 autour de 250.000 €. Dans l’ancien, on peut trouver des T2 dès 120.000 €. Ces barèmes sont à peu de choses près identiques sur tout le secteur, excepté à Genas, commune aérée et verdoyante, où le prix au mètre carré demeure le plus élevé de l’est lyonnais.

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