Arcachon : la ville aux quatre saisons

Jouissant de la configuration unique de son bassin sur la façade atlantique, Arcachon est un important port de pêche et de plaisance ainsi qu’un pôle commercial dynamique. Cette station balnéaire connue au-delà des frontières hexagonales déploie ses charmes au voisinage de la plus haute dune d’Europe.

Célèbre pour sa dune du pilat, ses huitres ou encore ses plages, le Bassin d’Arcachon offre une douceur de vivre incomparable. Situé à 50 km de Bordeaux et à 2h45 de Paris par le TGV, il a convaincu de nombreux Parisiens de s’y offrir une résidence secondaire ou semi-principale. Incontournable station balnéaire de la côte atlantique, Arcachon voit le jour au XIXème siècle en pays de Buch.

Nommée la ville aux quatre saisons, elle se compose de sept quartiers dont quatre secteurs portent le nom des saisons : la ville de printemps, la ville d’été, la ville d’automne et la ville d’hiver abritant de spectaculaires villas pittoresques et Belle Époque bâties sous l’impulsion des frères Pereire. Avec une population de près de 11.000 habitants, Arcachon trône au centre d’une aire urbaine de plus de 60.000 habitants.

Grande station balnéaire, elle affiche une architecture remarquable. Comptant parmi les premiers contrats de franchise, l’agence Stéphane Plaza Immobilier Arcachon a pris place au sein d’une agence historique de la ville, dirigée par Nathalie Foulon depuis 2005. À la tête de 3 agences Stéphane Plaza Immobilier au sein du bassin d’Arcachon, la professionnelle est également présidente de la chambre syndicale des agents immobilier du bassin d’Arcachon depuis 2009. Dotée d’un carnet d’adresse exceptionnel, Nathalie Foulon connait les arcanes de son métier et son territoire dans les moindres détails. Manageant une équipe de 12 employés, elle dirige avec la bienveillance propre au groupe Stéphane Plaza, ses 3 agences spécialisées en transaction, ainsi qu’en gestion de locations annuelles et de locations saisonnières. Consciente d’œuvrer au sein d’un territoire privilégiée, Nathalie Foulon n’en demeure pas moins réaliste.

« Au moment de la crise COVID, l’engouement a été tel que les prix ont accusé une hausse de 20 à 30 %. Aujourd’hui le marché retrouve un rythme de croisière et même si les prix retrouvent peu à peu la raison, ils demeurent à un niveau élevé. Toutefois, le marché s’est retourné. Nous sommes passé d’un marché de vendeurs à un marché d’acquéreurs. » Quid de l’équilibre entre l’offre et la demande ?